Ces dernières semaines, j’ai pu mettre la main sur 3 jeux qui vont prochainement débarquer sur consoles. C’est parti pour vous donner mes premières impressions sur Overwatch (la version PS4), Sherlock Holmes: The Devil’s Daughter (aussi joué sur PS4), et StarFox Guard sur Wii U.

PriseEnMain-OverwatchOverwatch (version PS4)
Bien qu’ayant accès à la bêta depuis le début, ce n’est que depuis la 2ème beta privée que j’ai commencé à tester Overwatch sur PC, depuis que j’ai pris en main le Acer Predator 17 en fait. En ce début de mois, j’étais donc invité à venir tester la version consoles, et plus précisément sur PS4. Il s’agit là d’un FPS, dans lequel chacun choisit l’un des 21 personnages disponibles, tout en faisant attention à ce que joue votre team comme type de perso pour l’équilibrer, mais aussi vos adversaires. On s’affronte ensuite dans des matchs à 6 contre 6, avec plusieurs modes de jeux tels que Attaque, Escorte ou encore Contrôle. Même si la jouabilité s’avère meilleure sur PC (et vous savez que je suis surtout un joueur consoles), il faut dire que l’expérience PS4 s’est avérée très fluide, que ce soit au niveau de la rapidité de prise en main, que de l’expérience visuelle. De plus, il faut noter qu’il arrive le même mois qu’un certain Battleborn, et ce dernier s’avère sans doute plus compliqué à prendre en main, en tout cas au premier abord. De toutes façons, il faut dire que depuis que je joue (très) régulièrement à Hearthstone, je fais quand même pas mal confiance à Blizzard. Mais c’est évident qu’il faudra selon moi faire un choix entre les 2 licences, car s’imposer et apprécier les 2 s’avère un peu compliqué.
On termine juste par 2 courts-métrages que Blizzard à sorti pour présenter un peu mieux la vie de ses personnages : Voir l’épisode “Recall” / Voir l’épisode “En vie”.

Date de sortie prévue : 24 Mai (PS4, Xbox One, PC)

PriseEnMain-SherlockSherlock Holmes: The Devil’s Daughter

Je vous le dis tout de suite, je n’avais jamais joué à un Sherlock Holmes avant de découvrir The Devil’s Daughter ! Cela-dit, cela ne m’a pas empêché de suivre attentivement la présentation et de comprendre pourquoi ce 8ème épisode risque de marquer un grand coup dans la série. Tout d’abord, car en plus du studio historique Frogwares, Bigben Interactive est venu mettre la main au portefeuille et ça ne peut que faire du bien à cette licence. Dans la liste des nouveautés, on nous annonce un personnage un peu rajeunit, pour attirer un public plus large, mais aussi et pour la première fois une localisation complète en français et en allemand, en plus du traditionnel anglais. Niveau sous-titres, vous avez même un total de 15 langues disponibles. D’ailleurs, pour la VF, il faut savoir que c’est la voix officielle de la série Sherlock qui a été enregistrée pour le jeu. On rentrera ensuite dans le vif du sujet, via une partie située vers le milieu de l’aventure, où on comprendra qu’il est possible d’effectuer certains choix, qui s’avéreront devenir vos déductions personnelles, qu’elles soient bonnes ou non, et ces dernières auront évidemment une influence sur la suite des événements. Il vous sera possible de figer le temps, pour faire une analyse des personnages que vous rencontrez, et parfois même se faire aider de votre chien Toby, qui est jouable dans certaines séquences. Côté gameplay on sera amené à se déplacer dans ce TPS aux zones “semi-ouvertes”, et le but d’un chapitre sera de trouver un maximum d’éléments, de le recouper entre-eux, et associer nos propres idées pour ensuite aborder une phase de déduction, dans laquelle vous terminez par accuser (à tort ou non) tel ou tel personnage. J’ai bien apprécié les différentes phases de gameplay qui ne sont pas que de la simple collecte, comme notamment la traversé sur les toits où on devait jouer avec les sticks. On retrouve une vingtaine d’environnements différents dans le jeu (en plus de votre neighbourhood), réparti dans 5 grands chapitres annonçant une vingtaine d’heures de jeu théorique. Je vous laisse découvrir un récent trailer de gameplay.

Date de sortie prévue : 10 Juin (PS4, Xbox One, PC)

PriseEnMain-StarfoxGuardStarFox Guard

On termine cette session de prise en main par le dernier StarFox proposé par Nintendo. Alors non, je ne vais pas vous parler aujourd’hui du Zero (qui sera prochainement en test ici-même rassurez-vous), mais plutôt de son “compagnon”, du nom de StarFox Guard. Disponible uniquement en dématérialisé à partir d’aujourd’hui, à moins que vous n’ayiez fait le choix de précommander StarFox Zero : l’édition limitée. StarFox Guard est donc un tower defense, dans lequel vous allez passer votre temps à faire des va et vient entre écran de gamepad et écran de télévision, mais vraiment ! Cet intérêt n’est pas juste un entraînement (en vertical) pour travailler votre cou avant le début de Roland Garros, mais tout simplement car vous serez amené à protéger votre base, en jouant à contrôler la douzaine de caméra installées par défaut, et toutes équipées de mitraillettes utiles pour vous débarrasser des robots envahisseurs qui peuvent apparaître un peu partout, du sol au ciel. Au total, c’est une centaine de missions qui s’offrent à vous, dont des missions spéciales qui se débloquent en fonction de votre niveau, avec des objectifs relativement différents, qui sont censés casser la routine. Chaque planète possède son propre décors, ses ennemis qui évoluent, et son boss avant d’aller sur une autre planète. Au bout d’une heure, j’avais déjà réalisé une petite vingtaine de missions, mais j’ai évidemment commencé par les plus faciles. Il existe aussi un mode online qui n’était pas encore ouvert lors de ma prise en main du jeu, mais à coup sûr il doit exister un aspect scoring. Du coup, la durée de vie me parait raisonnable pour son prix (entre 10 et 15 euros selon si vous possédez StarFox) pour ce mini-game, si on oublie son côté forcément un peu répétitif.

Date de sortie prévue : 22 Avril (Wii U)

[COMPTE-RENDU] Prise en main de Overwatch / Sherlock Holmes: The Devil’s Daughter / StarFox Guard
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