Est-il encore besoin de présenter l’un des FPS les plus connu de tous les temps ?… Plus de 20 années sont passées depuis le premier épisode qui lança le genre du FPS. Le genre est toujours là et même si la machine a changée, le cœur lui est toujours bien accroché. Oubliez les cours d’histoire du lycée, on va la réécrire ici à coups de couteaux, de flingues et de grenades.

Wolfenstein NOHell’come !!!
Raconter l’histoire d’un Wolfenstein se résume à peu près en trois mots : Nazis, Robots, Tuer. Et cet épisode n’échappe heureusement pas à la règle, plonger en pleine seconde guerre mondiale en 1946 (Wait.. what ?) où les alliés sont en train de perdre la guerre face à la puissance des engins futuristes de l’Axe. Le jeu commence donc fort par un débarquement dans la base d’une haut commandant ennemi histoire de frapper un grand coup et de renverser le cours de l’histoire.
Malheureusement dans cette espace temps là, notre héros nommé Blazkowicz échoue en prenant un peu de plomb dans le crâne. Immobilisé pendant 14 ans, le temps pour les nazis de prendre le contrôle de l’Europe et de faire plier le reste du monde sous son joug, Blazkowicz sort de son “coma” pour se venger et mettre des coups dans la fourmilière avec un quelques grenades tesla.

Wolfenstein NO 2

Ma lame sous ta gorge ou mon flingue sur ta tempe.
N’ayons pas peur des mots, Wolfenstein est crade, Blazkowicz n’est pas un mec sympa et les gens qu’il combat le sont encore moins, les images sont violentes, et les idées tombent parfois dans les clichés du genre. Mais qu’importe on aime ça et on en redemande&nbsp!
Pour arriver à ses fins, Blazkowicz possède un arsenal varié, en partant du pistolet au fusil laser en passant par le pompe, la mitrailleuse, le sniper, etc. Mais attention, vous pouvez la jouer comme bon vous semble.
En effet, si vous voulez comme moi la jouer au couteau en égorgeant vos ennemis et en tirant avec votre silencieux pour nettoyer une salle, et en vidant les ennemis un par un dans le silence le plus total, vous pouvez ! Vous voulez la jouer bourrin armé de deux fusils à pompe à balles ricochantes ? Amusez-vous !
Visuellement c’est beau, on en prend plein les yeux, autant dans les combats contre les méchas gigantesques, ou dans les décors d’ambiances glauques comme les labos nazis. Vous serez dans l’ambiance dès les premières minutes de jeu en voyant le débarquement contre la forteresse nazi, et vous serez époustouflé par les décors lunaires qui vous seront donné de visiter.

Wolfenstein NO 1

Et les trophées ?
Pour la durée de vie d’un jeu solo, Wolfenstein se porte plutôt bien avec une bonne douzaine d’heures pour le finir d’une traite. Le platine lui vous prendra un peu plus longtemps en fonction de votre niveau en FPS (entre 15 et 18h maximum à mon avis).

Trophée Platine Trophées Or Trophées Argent Trophées Bronze  Trophées Bronze Trophées Argent Trophées Or Trophée Platine

Et donc ?
Très franchement ? Je suis pas un fan des FPS de base, parce que je suis mauvais dans un premier temps, et surtout parce que je trouve toujours l’histoire un peu trop… simple. Mais sur Wolfenstein The New Order, j’ai pris ma petite claque dans la figure. La première heure de jeu m’a fait un peu patienter, mais dès la fin du premier chapitre, j’étais passionné. Un bon FPS à l’ancienne, bourrin et qui permet de pouvoir faire des passages en ninja, des nazis à tuer, des robots géants… Si ces mots là vous motivent pas, je ne sais pas ce qu’il vous faut !

Note : 8/10

Enjoy.

[TEST] Wolfenstein The New Order sur PS4
Étiqueté avec :                                

3 avis sur « [TEST] Wolfenstein The New Order sur PS4 »

Laisser un commentaire