C’est dans un lounge bar du côté d’Issy les moulineaux dans les locaux d'”une petite boite qui monte” nommée Microsoft que nous avons été invités pour poser les mains sur Sleeping Dogs la semaine dernière, pour tester le dernier né de Square Enix : Sleeping Dogs.



Après une arrivée sous la chaleur cuisante et une journée de boulot dans les jambes je débarque donc dans les sus nommés locaux. Je me perds un peu à l’accueil mais je croise une très jolie jeune femme qui m’indique où se trouve le lounge en question, et c’est dans un salon assez cosy que je vois plusieurs écrans assez immenses qui balancent des cinématiques superbes du jeu d’un côté, une course poursuite à moto de l’autre et une baston de loubard encore au fond. Aucun doute je suis dans la place.

Le community manager me propose un rafaichissement que j’accepte volontiers, merci Sacha by the way, et je m’avance tranquillement vers un poste de jeu où une la personne présente est en train de tenter de faire sauter Wei (votre avatar ingame) d’une voiture à une autre en conduisant… normal on est dans un jeu aux inspirations John Woo.

J’arrive à prendre une manette sur un poste qui se libère… Let’s rock baby, je suis lancé directement dans une baston de rue. Je ne connais pas les touches mais instinctivement je trouve les bons boutons pour tabasser mes adversaires et contrer leurs coups. Les habitués des jeux Batman (comme moi ;)) ne seront pas perdus sur le macadam chinois, ce sont les mêmes contrôles : un bouton pour frapper, un autre pour bloquer les coups provoquant ainsi une contre attaque, et un dernier bouton pour choper votre adversaire avant de le martyriser sous vos falanges.

Les animations ne sont pas dégeux, les coups assez violents et réalistes, et les bruits d’os qui craquent sont présents, love !
Je dégomme les trois badguys, mais pas le temps de s’échapper, qu’une autre fournée arrive armée d’un démonte-pneu… Je prends ce dernier des mains de mon adversaire et le rebaptise “demonte-tête” pour la scène.

Après cette mise en bouche, prenons un peu la conduite en main, c’est agréable, elle n’est pas aussi molle et savonneuse qu’un GTA IV, c’est très appréciable. Le didactitiel me dit que je peux (en pressant X et en donnant une direction) mettre un coup d’accélérateur pour bousculer un autre véhicule violemment, je tente le coup… ça passe !
Alors c’est très pratique pour se débarasser d’une voiture de flic qui colle trop, mais le mouvement de la voiture semble animée par un piston digne des voitures de tunning mexicain lorsqu’on donne une direction latérale.

Je lâche la voiture pour tenter l’aventure à moto, parce que la moto c’est la classe quand même… Et bien un peu déçu par cette dernière, les mouvements sont bien rendus, pas de soucis, mais l’impression de fusion avec la moto est trop, la moindre collision semble inexistante pour le pilote, mais ce n’est pas une simulation de moto, et c’est le problème de tous les jeux bacs à sable du genre, donc rien à redire. L’impression de vitesse est cependant bien rendu, au point de me faire quelques petites frayeurs sur le périphérique.
Je continue quelques missions annexes histoire de me rendre compte que la carte est assez grande pour nous offrir quelques heures de fun et qu’elle est surtout ouverte dès le début. Exit donc les quartiers qui restent inaccessibles parce qu’il faut donner l’impression au joueur de découvrir la ville au fur et à mesure, un bon point.
Par la suite je ne fais pas la trame principale, pas envie de me spoiler… Parce que oui, il y a encore un mois je ne pensais pas craquer pour ce jeu… et bien perdu après l’avoir eu en main je viens de le réserver !

Sortie prévue le 16/08/2012 sur PC, PS3 et Xbox 360.
Niveau d’attente : 8/10

[COMPTE-RENDU] Presentation de Sleeping Dogs
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