Traditionnellement publiés en fin de semaine, j’ai choisi cette fois-ci de vous parler de P’tits Couscous en ce lundi au temps (plus que) variable. Aujourd’hui on va parler sport, walking simulator et autres jeux rétro !

NBA Playgrounds sur Switch
Malgré le temps variable de ces dernières semaines, c’est toujours un plaisir pour moi d’aller fouler les playgrounds pour aller taper deux ou trois dunks… de manière virtuelle, évidemment ! j’ai tout de suite été attiré par NBA Playgrounds, dans la mesure où ce jeu semblait être une suite spirituelle de ce qu’avait été NBA Jam dans ses moments de gloire à l’époque des consoles 16 bits. Dans ce jeu de basket ultra-arcade à 2 contre 2, il est rapidement possible de s’amuser grâce à une prise en main intuitive, tant qu’on arrive à rapidement maîtriser le timing que le jeu nous demande lors de nos différents tirs face au panier. La simplicité du titre réside dans le fait qu’on doit uniquement utiliser quelques boutons en attaque comme en défense, pour rapidement se créer des situations de jeu, tout en gérant intelligemment sa barre de boost. Entre deux (trop) longs temps de chargement, je me suis forcément enjoué à l’idée d’ouvrir des packs de joueurs (un peu comme dans un certain Hearthstone :p) afin de constituer la plus belle paire possible à mettre sur un terrain. Malheureusement, le hasard a trop souvent eu du mal à faire les choses pour moi, et mon unique loot légendaire est “seulement” Dirk Nowitzki. Seulement, car j’aurais aimé jouer avec une megastar, car jouer avec un très bon shooter à 3 points appairé avec un autre plus habile et solide à la récupération, et la victoire peut plus facilement pointer le bout de son nez. Passées quelques dizaines de parties et 2 tournois remportés en solo, il faudra aller chercher le fun lors de partie en multi avec des amis, en attendant une mise à jour avec un choix de joueurs encore plus conséquent, et pourquoi pas aussi un mode en ligne en 2v2.
P’tite note : 3/5 (p’tit test réalisé par JohnCouscous)

Blackwood Crossing sur PS4
Voici sans doute le jeu le plus étrange des trois, avec Blackwood Crossing une histoire proposée par PaperSeven. Dans ce walking simulator (ou jeu d’aventure narratif), on incarne la jeune Scarlett Blackwood dans une histoire où tout sera centré autour des différents membres de sa famille, que l’on sera amené à découvrir lors d’un voyage en “train”. Les différents personnages rencontrés sont attachants, et l’histoire est finalement touchante malgré un faible nombre d’interactions à vivre dans ce qui s’avère être la mémoire de la jeune fille rousse. Techniquement, on a quand même parfois envie de mettre un coup de speed pour la faire accélérer, mais j’en suis même venu à me demander si cette lenteur n’était pas volontaire pour prolonger la faiblarde durée de vie du jeu, pour un voyage qui met autour de deux heures à être vécue. Ceci étant dit, cela n’enlève rien à l’intéressante histoire qui nous est contée, car il traite de sujets où on peut être sensibilisé, tels que le conflit de générations ou encore les liens familiaux. Passé le charme de cette narration, il faut aussi savoir que ce jeu est clairement un easy platine, et après avoir tranquillement découvert l’histoire en jouant sur une autre session que la mienne, j’attends avec impatience la prochaine TWN pour me rusher ce platine en moins de 2 heures !
P’tite note : 3/5 (p’tit test réalisé par JohnCouscous)

The Disney Afternoon Collection sur PS4
On termine cette série de P’tits Couscous avec une compilation qui m’a rendu nostalgique, notamment grâce à (au moins) 2 jeux dans la liste proposée. DuckTales 1 & 2, Chip’n Dale Rescue Rangers 1 & 2, TaleSpin et Darkwing Duck sont les 6 jeux proposés par Capcom dans cette chouette compilation, et c’est peut-être une partie des titres qu’il a manqué dans la NES Mini pour en faire un émulateur encore plus cool à posséder. En ce qui concerne ce The Disney Afternoon Collection, quelques ajouts ont été fait sur les titres, en plus de l’interface permettant de sélectionner le jeu de son choix. On a notamment accès à une sauvegarde à tout moment de la partie, mais aussi une option qui évince tout soupçon de challenge : le rewind. Devenu une mode dans certains jeux, il est possible de revenir quelques secondes en arrière en cas de saut loupé, et le charme d’antan disparaît immédiatement avec cette feature. Certes, les bugs connus de l’époque ont été conservés (et cela plaira aux puristes), mais on se tournera finalement plus vite vers les 2 (vraies) nouveautés proposées, à savoir les Boss en folie afin d’enchaîner tous les méchants, mais aussi le mode Chrono, bien plus fidèle à la version d’origine (ni rewind, ni save dans ce mode) pour vous entraîner à vos prochains speedrun. À noter qu’un musée fait son apparition, afin de profiter de quelques artworks et autres informations liées au jeu. Dommage que le nombre de trophées soit faiblard, car j’aurais sans doute fait l’effort d’y jouer plus longtemps s’il y avait un p’tit platine à la clé 😉
P’tite note : 3,5/5 (p’tit test réalisé par JohnCouscous)

À très vite pour de prochains nouveaux P’tits Couscous.

[LPC] #51 : NBA Playgrounds / Blackwood Crossing / The Disney Afternoon Collection
Étiqueté avec :                                

Laisser un commentaire